Texte
L’asbl « My Wish » a ouvert en mars 2015 une maison communautaire, pour jeunes adultes porteurs d’un léger handicap (trouble du développement, du langage, etc.), avec encadrement par des éducateurs spécialisés. Le projet socio-éducatif de la maison d’accueil vise à permettre à ces jeunes de développer leur propre projet de vie et d’évoluer à leur rythme vers l’autonomie. Basée à Woluwe-Saint-Lambert, la maison et son projet ciblent essentiellement la population de la région Bruxelloise.
L’asbl « My Wish » est constituée d’une demi-douzaine de bénévoles. Pour ce projet-pilote de maison communautaire, l’asbl a bénéficié d’une maison rénovée (en gros œuvre) mise gratuitement à sa disposition par un généreux mécène. L’équipe des bénévoles et un vaste réseau d’amis et connaissances ont contribué au parachèvement de la maison (travaux de finitions, ameublement, etc.).
Plus d'information est disponible sur le site Internet de My Wish
But
Soutien de projets visant à améliorer les conditions de vie des handicapés et plus particulièrement des jeunes handicapés.
Finances
Pour la mise en route de la maison, l’asbl "My Wish" rencontrait un besoin spécifique d’équiper les parties communes de la maison.
Elle s’est donc adressée au Rotary Club Bruxelles-Vésale afin d’obtenir une aide d’un montant de 2.315 euros, pour l’achat de l’électroménager pour l’équipement de la cuisine.
Compte-rendus
La responsable de L’asbl "My Wish", Madame Caeymaex, nous a chaudement remerciés en soulignant que grâce au Rotary Club Bruxelles-Vésale, l’installation de la maison a été facilitée : « En cette période d'installation, les frais s'accumulent, et votre don ne pouvait pas mieux tomber. J'en ai fait part immédiatement à notre petite équipe, qui me charge de vous dire toute sa reconnaissance, au nom des jeunes qui vont s’y installer ».
Dans un article consacré au projet « My Wish », paru dans la Libre Belgique du 2 mai 2015, Madame Caeymaex poursuit : « Ces jeunes ont un souhait profond de pouvoir vivre avec d’autres jeunes qui, comme eux, ne communiquent pas “aussi vite et aussi bien”. Mais après l’internat, il n’y a plus rien. Ils sortent d’écoles spécialisées où ils ont été stimulés et encouragés. Ils ne veulent plus retourner chez leurs parents mais ils ne veulent pas vivre dans des institutions destinées à des personnes dont le handicap est plus lourd. Deux perspectives déprimantes, de telle sorte que la plupart des jeunes n’ont pas d’autres choix que de rester dans leur famille, où ils s’isolent et perdent espoir. »
Et, dans le même article, une des jeunes adultes bénéficiaires témoigne : « Ici, on a une vie normale »
Clubs partenaires
Bruxelles-Vésale
